Philippe, Le Mari Candauliste Et Olga, L’Épouse Hypersexuelle (39) : Notre Cadeau De Mariage.

Je me suis mariée trois fois, deux fois avec Philippe (2003 et 2014), une fois avec Hassan en 2011.

En apparence, ces trois mariages ont un scénario commun : à chaque fois, dès la soirée de la cérémonie, j’ai été adultère. Techniquement c’est vrai : d’autres hommes que mon époux m’ont possédée, quelques heures après mon engagement de fidélité devant l’officier d’état-civil.

En réalité, les choses ont été très différentes pour chacun de mes mariages.

En 2003 (récit n°5), le scénario candauliste qu’avait élaboré Philippe ne s’est pas déroulé comme il l’avait prévu. Pour le punir de son comportement, je ne lui avais pas permis d’assister à mes ébats avec Pierre, son ami et son témoin.


En 2011, il s’agissait d’un adultère stricto sensu, même si la particularité fut qu’il avait été commis avec mon ex-mari, Philippe, qui inversait en quelque sorte les rôles avec Hassan (récit n° 34).

Je m’attendais donc à ce que ce mariage soit, en plus intime, la répétition de celui de 2003, où Philippe avait tout fait pour que je sois adultère dès la première nuit, ce qui s’est finalement passé avec son témoin, son ami Pierre. Mais cette fois-ci, Pierre n’était pas invité. Nous avions osé inviter Hassan, qui déclina poliment. J’avais poussé le vice jusqu’à inviter Marie C. et Flavienne, la seconde ne répondit pas, la première fût présente. Apaisée, elle s’abstint cependant de venir avec son mari, un certain Rachid A. (mon ex-prédateur) qui désormais exerçait ses talents sur cette garce.
Elle avait tourné la page, me remerciant puisque c’est grâce à moi qu’elle avait rencontré Rachid, qui était le mâle qui lui convenait, de son propre aveu. Marie me félicita pour la ténacité que j’avais montrée pour finalement consolider mon couple avec Philippe.
Philippe se montra follement amoureux de sa « nouvelle » épouse, mais aussi sage, au sens où il ne cherchait pas à me précipiter dans les bras de tel ou tel de nos invités.

Ceux-ci étaient d’ailleurs bien moins nombreux que lors de la première cérémonie, nous avions perdu entretemps beaucoup d’amis et de connaissances pour qui nous sentions désormais le souffre.
Christine fût, pour la troisième fois, mon témoin de mariage et son mari Jean, qui avait été mon amant, (voir récit n°15) fut le témoin de Philippe.

• Philippe, j’espère que tu n’as pas prévu que nous finissions la nuit de noces ensemble tous les quatre, même si Christine et Jean ne disaient jamais non quand il s’agissait de plaisir.

• Franchement, ce ne serait pas très original, Pierre a été ton amant, Christine ma maîtresse et la tienne. On n’a plus rien à découvrir avec eux !

• Je te rappelle de toute façon que j’ai eu carte blanche de ta part pour tout organiser.

• J’espère que tu ne vas pas m’offrir une nuit de noces classique.

• Tu ne seras pas déçu, mon mari candauliste. Tu te souviendras de cette nuit de noces, mon amour. Patience, mon chéri, c’est une surprise.

La soirée se déroula sans encombre, rien à voir avec l’ambiance érotique de mon premier mariage où tout avait été fait pour que je tombe dans les bras de Pierre. Aux yeux de nos invités et de la famille, nous nous étions assagis et nous allions passer une nuit de noces « classique », moi me réservant pour les assauts d’un mari revigoré. Nous avions d’ailleurs passé la soirée ensemble, et je n’avais eu de cesse de chauffer Philippe. Lui de son côté se montrait de plus en plus audacieux et, si je ne l’avais pas retenu, il aurait été capable de m’honorer en public.
Nous partîmes donc assez tôt et sous les applaudissements de nos invités, convaincus que Philippe allait me baiser toute la nuit.
Nous arrivons chez nous. Philippe n’a pas remarqué qu’une voiture est stationnée, avec deux hommes à bord qui attendent un signal.

MON CADEAU DE MARIAGE

Une fois dans la chambre, Philippe retire d'une main experte l'encombrante robe de mariée et les dessous en dentelle.
Je me retrouve nue en un clin d’œil. Affichant son sourire le plus enjôleur, il avance des mains caressantes vers mon corps. Il le connait si bien et pourtant il s’émerveille toujours de la douceur de ma peau et de la finesse de mon corps. Philippe me prend dans ses bras, goûtant le contact de ma peau nue et chaude.

• Doucement, mon chéri, nous avons toute la nuit jusque l’aube et même au-delà. Mets-toi en slip. Hum, tu as une superbe érection.

• Tu m’as rendu fou toute la journée, Olga !

• Tu n’es pas au bout de tes surprises, mon mari. Je reviens.

Je revins avec une tenue sexy qu'on avait achetée ensemble : une guêpière noire, en dentelles, mini string, bas noirs et hauts talons ! Philippe était prêt à me sauter dessus.

• Mon chéri, assieds-toi sur ton fauteuil !

Assis, je lui attachais les jambes et les mains derrière le siège. Il était excité. Il savait à quoi servait habituellement ce fauteuil. C’était celui où, assis et nu, il matait mes ébats et finissait par jouir sans même avoir besoin de se toucher. Il se doutait que cette nuit serait particulière.

Je commençais par m’asseoir sur lui, à l’embrasser et le caresser, en jouant de mon corps et de ma poitrine. Philippe devenait fou de désir, il allait exploser.
• Maintenant la surprise, mon petit mari candauliste.

Je sortis de la chambre et revins deux minutes plus tard.

J’étais accompagnée de deux mecs, deux grands gaillards bien baraqués, que j’avais rencontrés à la salle de sports que je fréquentais et qui m’avaient dragué ouvertement. Je leur avais fait comprendre que ça ne m’intéressait pas. Ils furent d’autant plus surpris quand, peu après, je les abordais et je fus très directe :

• Vous vous intéressez toujours à moi ?

• Ben oui, faudrait être un impuissant pour ne pas être attiré par une femme comme toi.

• Mais la dernière fois tu nous as dit sèchement de te laisser tranquille, que tu n’étais pas libre

• On ne va pas y aller par quatre chemins : vous voulez toujours me baiser ?

• Et ben dis-donc t’es directe toi ! Evidemment qu’on rêve de te sauter !

Je leur ai expliqué que Philippe était candauliste et que je voulais donc lui offrir ce cadeau pour notre nuit de noces.
Je leur ai demandés de me traiter comme une salope, parce que j’en étais une et que mon mari adorait que je sois traitée ainsi.

Les deux hommes étaient en boxer et la bosse qui se dessinait dedans en disait déjà long sur la raison pour laquelle ils étaient là.

• Mon cadeau pour notre mariage, mon amour ! J'espère que cela te plaira !

Philippe avait les yeux grands écarquillés.

• Baisez-la bien cette salope, ensuite je m’occuperai d’elle. Allez-y, ne vous gênez pas

• T’inquiète, elle va prendre son pied, ta pute !

C'est alors que les deux bougres sont rentrés en action, en commençant à me coller, me caresser, m'embrasser. Ils s'occupaient bien de mes petits seins si sensibles et de mes fesses fermes et rondes.


Je commençais à malaxer les bosses formées dans les boxer. Je retirais le boxer d'un des deux mecs et je pus constater un beau sexe, digne d'un mulet. Impressionnant l'engin ! Long de 20 cm et le diamètre n'était pas triste non plus. Le deuxième gars ne se fit pas attendre et retira le sien de lui-même. Même spécimen ! Je ne m’étais pas trompée : j’étais aux prises avec deux gaillards bâtis comme des ânes.

Les deux types ont commencé à me déshabiller, tout en me caressant et m'embrassant, surtout en s'occupant de mes seins.

• Putain, Dany, j’y crois pas qu’on va se taper une telle meuf. Et devant le mari en plus

• On va bien s’occuper d’elle, répondait celui qui s’appelait Eric. Ouah, c'est vrai qu'elle est divinement belle et bandante.

• T’as vu, elle a conservé son alliance, cette salope ! Faire ça le soir de son mariage, c’est incroyable !

• Cette alliance n’est pas un gage de fidélité, elle symbolise le pacte candauliste que nous avons passé. Je la garde toujours quand je fais baiser par un autre homme, qu’il sache que je suis mariée et que je fais ça avec l’accord de mon mari.

• Je ne comprends pas grand-chose dans votre histoire.
Ce que je sais, c’est que vous êtes des sacrés vicieux et que tu vas être servie ce soir, salope !

• J’y compte bien ! Ma jouissance ce soir est aussi un cadeau pour mon mari !

Une fois nue, l'un d'eux me souleva et me projeta sur le lit. Pour Philippe c’était un spectacle ahurissant et surexcitant. Pour moi, la promesse de me faire baiser par deux mâles, ça m’avait tant manqué.

Ils se jetèrent à leur tour sur le lit et continuèrent à s'occuper de moi. L'un des deux m’écarta les jambes et commença à lécher comme un fou mon entrejambe, tout en empoignant les cuisses pour qu'elles restent bien écartées. L'autre, Eric, mit sa grosse queue en face de sa bouche et, m'attrapa par les cheveux avec une main :

• Suce, salope ! Regarde, cocu, c’est comme ça qu’il faut la traiter. C’est une bonne soumise.

• Oh oui, allez-y, ne vous gênez pas, elle adore ça et moi aussi. Des mois qu’on n’a pas fait ça, ça nous manque ! Je veux l’entendre gueuler de plaisir ! Merci chérie pour ce magnifique cadeau, le spectacle de ton plaisir lors de cette nuit particulière.

Dany me léchait comme un fou, je venais d’avoir un premier orgasme. Je commençais à lâcher des gémissements de femme surexcitée. Malgré ça, entre deux râles, je m’attelais à sucer l'autre. Pas évident au vu du membre à engloutir. Je le relâchais même souvent pour reprendre mon souffle, tout en continuant de le caresser lui et ses deux couilles énormes pleines de sperme.

Dany demanda à l'autre d'inverser les rôles. Il apparaissait comme un vrai leader celui-là. Il approcha son énorme queue de ma bouche et l’engloutit d'un seul coup tout en me maintenant la tête avec une main, pendant qu'il utilisait l'autre pour me caresser les seins. Eric commença alors à me lécher à son tour.

J’avais du mal à pomper complètement le mec mais il faisait pression avec sa main pour que je ne lâche pas prise. J'avais du mal à respirer, cela se voyait.

• Alors, ça te plaît de voir ta salope se faire dominer par deux mecs ? On dirait que oui, car tu bandes à mort. Elle est vraiment trop bandante. Elle va déguster, je te le promets. On va t'en mettre plein la vue !

Après quelques minutes, ils me lâchèrent et Dany dit :

• Maintenant, passons aux choses sérieuses ma poule ! Tu vas passer à la casserole !

Il s'approcha de mon entrejambe et mit son gros gland près des lèvres trempées pendant que l'autre me tenait au niveau des épaules, promenant sa queue sur mon visage.
Sa queue commença à rentrer doucement dans mes entrailles. Quitte à déroger au Pacte candauliste, allons jusqu’au bout : Dany n’avait pas mis de préservatif et je n’en voulais pas, je voulais, pour ma nuit de noces, m’offrir complétement.

Lorsqu'il commença à me pénétrer, je fermais les yeux et lâchais un râle qui en disait long. Un râle qui continua jusqu'à la complète pénétration du mastodonte.

• Elle aime ça ta petite femme ! Elle va être servie, crois-moi !

Il commença alors des va et vient puissants et profonds, me pénétrant le plus loin qu'il pouvait, écrasant ses couilles sur mes fesses bien fermes, tout en me mordillant et me pelotant les seins.
A chaque va et vient, je gémissais de plus en plus fort. Je prenais mon pied comme jamais, cela se voyait ! L'autre continuait à promener sa queue sur mon visage, tout caressant mes seins. Il n'attendait qu'une chose : me baiser à son tour !

Après quelques minutes de sévère pilonnage, j’étais en pleine sueur, lâchant des râles de plus en plus forts, des cris de jouissance terribles.

• Tu aimes ça ma salope ! Te faire prendre devant ton mari comme une pute.

• Oh ouiiiiii Je suis une salope et Philippe aime que sa femme soit une pute. Il a voulu qu’on se marie à nouveau, il fallait donc que je le fasse cocu dès la première nuit !

• Oh que c’est beau, allez-y les gars, démontez-la, faites la couiner !

• Ca te plait, Philippe ? Je le fais pour moi, mais aussi pour toi. Oh que c’est bon, mon Dieu

• Merci chérie, c’est un magnifique cadeau.

• C’est mieux qu’il y a dix ans, mon Philippe. A l’époque, je t’avais puni, tu te souviens, tu avais pu écouter et pas mater.

• Je préfère cette fois. Pas seulement parce que je mate. Il y a dix ans, Pierre t’avait fait l’amour, ceux-là te niquent comme une chienne.

Ça m’excitait à fond. Oui, j’étais une vraie chienne en chaleur, criant de plus belle à chaque pénétration, plus puissante les unes que les autres. Le lit grinçait, mes seins ballottaient dans tous les sens. Je pensais que le lit allait craquer au vu des secousses générées par les coups de hanche puissants qu'il me donnait. La folie ! Je criais de plus en plus fort, comme une furie.

Au bout de vingt minutes, j’explosais ! Un cri énorme, qui aurait pu ameuter tout le quartier. Il y a longtemps que je n’avais pas joui comme ça ! Et là, à son tour, Dany lâcha un râle puissant. Il se vidait complètement en moi le salaud. Il m’inonda d'une quantité impressionnante de sperme. Un vrai délire!

Quand il se retira de moi, j’avais un trou béant tant il avait dû dilater ma chatte et une grosse quantité de sperme qui commençait à en sortir, coulant sur mes fesses. Pour m'avoir bien baisée, il m’avait bien baisée le salaud !

Sur quoi, l'autre ne tarda pas à entrer en action. Il n'en pouvait plus le bougre. Il me mit en levrette, mit son gland à hauteur de l'anus et commença à tapoter son immense queue sur mes fesses pour comprendre la suite des événements. Il mit un peu de salive sur l'anus, un doigt pour préparer le terrain et il se prépare à me pénétrer. Lorsqu'il est entre, j’ai poussé un cri de douleur. Un tel engin ne rentre pas sans faire de dégât ! Mais il parvient à bien rentrer dedans jusqu'au bout et s'installe confortablement. Au fur à mesure qu'il s'installait, je poussais un râle qui en disait long sur l'intrusion.

Après quelques secondes de repos à l'intérieur, histoire de bien dilater mon petit trou, il commença à faire des va et vient bien puissants et bien profonds, écrasant ses couilles sur mes fesses. À chaque pénétration, je poussais un cri aigu, mêlant douleur, excitation et plaisir. Un must absolu. Il continuait à me pilonner tout en me maintenant par les fesses, qu'il fessait d'ailleurs joyeusement de temps à autre.

Je recommençais à crier comme une folle.

• Oh oui, j’aime ça ! Vas-y, salaud, casse-moi le cul !

J’étais en levrette, ce gros calibre me pilonnait, mes seins en train de ballotter comme des fous. Je criais, hurlais, mordillais les draps de lit. Philippe ne perdait pas une miette du spectacle !

Pendant ce temps, Dany était étendu à côté, en se caressant le membre et en admirant le spectacle. Le spectacle était tellement bandant que mon premier baiseur avait déjà repris de la vigueur. Quelle santé !

Soudain, après une quinzaine de minute, Eric lâcha un râle puissant, se déversant complètement en moi, sur quoi je poussais un hurlement aussi.
Dany, qui se branlait devant le spectacle, se redressa d'un coup et mis sa queue à hauteur de ma bouche. D'un coup, il me balança une seconde décharge droit dans la bouche, que je m’efforçais d'avaler. Après quelques secondes, Eric se retira, laissant un trou béant tant il avait dilaté mon anus, duquel sortait une sacrée quantité de sperme, coulant le long de mes cuisses.

Je m’écroulais, extenuée, dégoulinant de sperme par mes deux orifices qui avaient été rudement à mis à contribution. De son côté, le spectacle avait tellement excité Philippe qu’il avait joui, dans un état second, dans son boxer. Il est sûr que jamais il n’oublierait ce second mariage.

Les deux étalons se sont levés et ont quittés la chambre tout en lançant :

• Bon on ne voudrait pas r. On te la laisse, même si on était prêt à remettre ça. C’est votre nuit de noces après tout ! Amusez-vous bien les amoureux !

Et en effet, maintenant que nous avions donné libre cours à mon hypersexualité et au candaulisme de Philippe, je voulais maintenant une nuit de noces classique, que je n’avais pas eue dix ans auparavant, puisque Philippe m’avait alors poussée dans les bras de son ami Pierre.

Je reconnais que je suis la dernière des salopes quand je me laisse aller à mon hypersexualité. Mais je suis aussi une femme comme les autres et j’avais besoin, après ces étreintes brutales, presque bestiales, de l’immense tendresse, des caresses de l’homme que j’aime : Philippe. J’avais besoin de faire encore et encore et encore l’amour avec lui.

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